Anthrènes des tapis

Trans­port par les tex­ti­les et les fourr­ures

Les lar­ves et les œufs sont sou­vent intro­duits par des artic­les d’oc­ca­si­on rap­por­tés.

Colé­op­tères volants

Les colé­op­tères adul­tes peu­vent voler et se dépla­cer ain­si faci­le­ment de l’ex­té­ri­eur vers l’in­té­ri­eur de la mai­son ou du bâti­ment.

Œufs cachés

Les femel­les pon­dent des œufs dans des end­roits dif­fi­ci­les d’ac­cès, sou­vent dans les fis­su­res et les coins.

Recher­che de nour­ri­tu­re

Les lar­ves recher­chent des sources de nour­ri­tu­re tel­les que les fibres ani­ma­les, c’est pour­quoi les tapis, les rem­bour­ra­ges et les vête­ments sont par­ti­cu­liè­re­ment men­acés.

Peaux de lar­ves trou­vées

Les peaux de lar­ves sur les tapis, les meubles ou dans les fis­su­res indi­quent une infe­sta­ti­on acti­ve.

Petits trous dans les tex­ti­les

Les trous visi­bles dans les vête­ments en lai­ne, les fourr­ures ou les tapis sont des dom­mages typi­ques.

Petits colé­op­tères arron­dis

Les anthrè­nes des tapis adul­tes mesu­rent envi­ron 3 mm, ont un motif brun-noir et volent occa­si­on­nel­le­ment.

Dépôts pous­sié­reux

Les rési­dus les plus fins de lar­ves peu­vent être visi­bles sous for­me de pous­siè­re dans les coins ou sous les meubles.

Ent­re les fibres des tapis et les rem­bour­ra­ges

Ici, les lar­ves trou­vent pro­tec­tion et nour­ri­tu­re.

Dans les armoi­res et sous les vête­ments

Sur­tout là où sont stockées les fibres ani­ma­les.

Dans les fis­su­res et les joints des meubles

Les peti­tes fis­su­res offrent des pos­si­bi­li­tés de repli.

Der­riè­re les plin­thes et les tableaux

Zones cachées rare­ment net­to­yées.

Dans les réser­ves, en par­ti­cu­lier pour les pro­duits d’o­ri­gi­ne ani­ma­le

Les lar­ves se nour­ris­sent éga­le­ment d’a­li­ments d’o­ri­gi­ne ani­ma­le.

Dété­rio­ra­ti­on des tex­ti­les

Les vête­ments en lai­ne, en soie, en cuir et en fourr­ure sont ron­gés par les lar­ves.

Des­truc­tion des meubles rem­bour­rés et des tapis

Les fibres et les maté­riaux de rem­bour­ra­ge sont détruits.

Con­ta­mi­na­ti­on des pro­vi­si­ons

Les ali­ments peu­vent être con­ta­mi­nés par les colé­op­tères et les lar­ves.

Réac­tions all­er­gi­ques

Les poils de lar­ves peu­vent pro­vo­quer des irri­ta­ti­ons cuta­nées ou des all­er­gies respi­ra­toires chez les per­son­nes sen­si­bles.

Pas­ser l’as­pi­ra­teur régu­liè­re­ment

Net­to­y­er soi­gneu­se­ment les tapis, les rem­bour­ra­ges et les end­roits dif­fi­ci­les d’ac­cès.

Pro­té­ger les tex­ti­les

Sto­cker les vête­ments déli­cats de maniè­re her­mé­tique et à l’a­b­ri de la lumiè­re.

Bien aérer les piè­ces et les main­te­nir au sec

L’hu­mi­di­té favo­ri­se les para­si­tes et leur déve­lo­p­pe­ment.

Uti­li­sa­ti­on de lavan­de, de bois de cèd­re

ou d’au­t­res répul­sifs natu­rels.

Piè­ges à colé­op­tères avec phé­ro­mo­nes

pour la sur­veil­lan­ce et la détec­tion pré­co­ce.

Eau vin­ai­grée

Essuy­er les sur­faces infes­tées pour éli­mi­ner les œufs et les lar­ves.

Action du fro­id ou de la chaleur

Con­ge­ler les vête­ments et les petits tex­ti­les dans le com­par­ti­ment de con­gé­la­ti­on ou les laver à au moins 60 °C.

Par­fums natu­rels

Uti­li­sa­ti­on de lavan­de, de bois de cèd­re ou d’hui­le de clou de girof­le com­me répul­sif.

Trai­te­ments insec­ti­ci­des

Pré­pa­ra­ti­ons spé­cia­les pour la lut­te ciblée cont­re les lar­ves et les colé­op­tères.

Pose de piè­ges à phé­ro­mo­nes

pour la sur­veil­lan­ce et la réduc­tion de la popu­la­ti­on.

Pro­cé­dés ther­mi­ques

Une métho­de sans pro­duits chi­mi­ques qui tue tous les para­si­tes par la chaleur.

Sans pro­duits chi­mi­ques

Pas de pesti­ci­des, pas d’o­deurs ni de rési­dus.

Action en pro­fon­deur

La chaleur pénèt­re tous les maté­riaux jus­qu’aux cachet­tes invi­si­bles.

Lar­ge spect­re d’ac­tion

Tue les œufs, les lar­ves et les colé­op­tères de maniè­re fia­ble.

Rapi­de

Trai­te­ment géné­ra­le­ment ter­mi­né en quel­ques heu­res.

Pro­tec­tion dura­ble

Empê­che une nou­vel­le infe­sta­ti­on grâce à une éli­mi­na­ti­on com­plè­te.