Punaises de lit dans un hôpital ou un cabinet médical

Comment une infestation se produit-elle dans un hôpital ?

Les hôpi­taux et les cli­ni­ques con­nais­sent un tra­fic con­stant de per­son­nes du mon­de entier : un seul pati­ent avec des baga­ges ou des vête­ments infes­tés d’in­sec­tes peut déclen­cher une infe­sta­ti­on. Les chan­ge­ments de chambre des pati­ents, les meubles d’oc­ca­si­on dans les sal­les de séjour ou les trans­mis­si­ons par le per­son­nel sont éga­le­ment des moy­ens envi­sa­ge­ables. Étant don­né que les hôpi­taux sont très fré­quen­tés quo­ti­di­en­ne­ment, les punai­ses de lit y trou­vent à tout moment de nou­veaux hôtes sous la for­me de pati­ents ou de per­son­nel.

Comment reconnaître les punaises de lit dans les établissements médicaux ?

Dans les cli­ni­ques, les punai­ses sont dif­fi­ci­les à détec­ter en rai­son des mesu­res d’hy­giè­ne con­stan­tes – mais les traces typi­ques aident le per­son­nel for­mé à les détec­ter pré­co­ce­ment :

Plain­tes

Plu­s­ieurs pati­ents pré­sen­tant des déman­ge­ai­sons ou des réac­tions cuta­nées inex­pli­quées.

Traces

Points d’excré­ments, taches de sang ou res­tes de mue sur la lite­rie ou les vête­ments.

Odeur

Une odeur douceât­re et rance est net­te­ment per­cep­ti­ble en cas d’in­fe­sta­ti­on importan­te.

Cachet­tes

Sou­vent cachées dans les joints de mate­las, les tables de che­vet ou sous les siè­ges.

Remar­ques

Les signa­le­ments des pati­ents ou des pro­ches doi­vent être pris au sérieux.

La vigi­lan­ce et la for­ma­ti­on du per­son­nel sont essen­ti­el­les pour détec­ter les punai­ses de lit à un sta­de pré­co­ce.

Quelles sont les conséquences d’une infestation pour l’exploitation de la clinique et les patients ?

Dans les hôpi­taux, les con­sé­quen­ces d’u­ne infe­sta­ti­on sont par­ti­cu­liè­re­ment gra­ves – tant pour les pati­ents que pour l’ex­plo­ita­ti­on.

San­té

Réac­tions cuta­nées, inflamm­a­ti­ons ou, dans les cas extrê­mes, chocs all­er­gi­ques. Sinon, les per­son­nes con­cer­nées res­sen­tent un malai­se géné­ral, éven­tu­el­le­ment avec de la fiè­v­re, des nau­sées et de l’in­som­nie. En cas d’in­fe­sta­ti­on importan­te sur une péri­ode pro­lon­gée, une ané­mie peut même sur­ve­nir dans des cas iso­lés.

Per­son­nes néces­si­tant une pro­tec­tion

Les pati­ents fai­bles ou ali­tés sont par­ti­cu­liè­re­ment men­acés. De plus, les punai­ses de lit génè­rent un stress psy­chi­que éle­vé, ce qui peut nui­re au pro­ces­sus de gué­ri­son des pati­ents déjà malades.

Répu­ta­ti­on

Les para­si­tes à l’hôpi­tal ont un effet dis­sua­sif – la con­fi­ance en souf­fre.

Une action rapi­de et dis­crè­te pro­tège la san­té des pati­ents et du per­son­nel, l’i­mage et les pro­ces­sus opé­ra­ti­on­nels importants.

Thermo-bug® comme solution pour les hôpitaux

Ther­mo-bug® est par­fai­te­ment adap­té pour assurer rapi­de­ment la sécu­ri­té dans les zones cli­ni­ques sen­si­bles : le trai­te­ment ther­mi­que ne néces­si­te pas de pro­duits chi­mi­ques toxi­ques qui pour­rai­ent inter­fé­rer avec les médi­ca­ments ou les dis­po­si­tifs médi­caux. Nos appareils fon­c­tion­nent silen­cieu­se­ment et ne lais­sent aucu­ne odeur – ain­si, les cham­bres des pati­ents peu­vent être réoc­cu­p­ées rapi­de­ment après le trai­te­ment.

L’é­li­mi­na­ti­on à 100 % par une chaleur supé­ri­eu­re à 60 °C éli­mi­ne tou­tes les punai­ses de lit et leurs œufs, même dans les coins dif­fi­ci­les d’ac­cès. Con­trai­re­ment à la fum­i­ga­ti­on ou à la pul­vé­ri­sa­ti­on, aucun pro­duit chi­mi­que nocif n’est uti­li­sé. Dans l’en­sem­ble, le trai­te­ment ther­mi­que Ther­mo-bug® est une alter­na­ti­ve appro­fon­die, sûre pour les enfants et les pati­ents – idéa­le pour les cli­ni­ques, les phar­maci­es et aut­res éta­blis­se­ments médi­caux.